« Ce que nous allons faire pour les femmes africaines qui ont besoin de soutien est notre devoir humanitaire, pas une faveur »

Lors de son discours dans une réunion sur l’émancipation des femmes et des filles africaines, la Première Dame Erdoğan a dit : « Ce que nous allons faire pour les femmes africaines qui ont besoin de soutien est notre devoir humanitaire, pas une faveur. Car les droits de l’homme sont un ensemble indissociable. »

La Première Dame Emine Erdoğan qui accompagne le Président Erdoğan lors de sa visite aux Etats-Unis, a accueilli une réunion sur le thème « l’Emancipation des femmes et filles africaines : Approches pour les sociétés durables et équitables ».

« NOUS CROYONS QUE LE 21E SIECLE SERA L’ERE DE L’AFRIQUE »

La Première Dame Erdoğan a déclaré qu’elle avait déjà visité près de 30 pays africains et admiré la riche culture du continent. Malgré cette richesse, l’Afrique est toujours associée à la pauvreté, a noté la Première Dame. Cependant, mettant en avant la structure dynamique du continent, elle a dit : « Même si le 20e siècle était un siècle perdu pour l’Afrique, le 21e sera son ère. »

En ce qui concerne la question féminine en Afrique, Mme Erdoğan a dit : « Ce que nous allons faire pour les femmes africaines qui ont besoin de soutien est notre devoir humain, pas une faveur, parce que les droits de l’homme sont un ensemble indissociable. » Toutes sortes de soutien apporté à l’Afrique est un investissement pour l’humanité, et un monde paisible et sûr sera sa conséquence, selon la Première Dame.

Le Ministre des affaires étrangères Mevlüt Çavuşoğlu et son épouse, l’Envoyée spéciale de la Commission de l’Union africaine Bineta Diop, l’Administrateur du Programme des Nations Unies pour le développement (PNUD) Achim Steiner, la Directrice régionale de l’ONU pour l’Afrique orientale et australe Izeduwab Derex-Briggs, la Directrice générale adjointe de l’UNICEF Fatoumata Ndiaye, l’épouse du Ministre de la défense nationale turc Şule Akar, l’épouse du Ministre du trésor et des finances Esra Albayrak et les épouses de quelques chefs des pays africains ont participé également à l’événement.